Le sourire du chasseur, l’image comme preuve
Une récente exposition du Bal a rouvert le dossier de la preuve par l’image. Malgré la critique apparente du vieux fonds indiciaire, on retrouve la même fascination morbide pour les corps morts et l’imagerie forensique, et surtout le même contresens fondamental sur le document visuel. La triste histoire du dentiste mi-chasseur mi-braconnier, qui a payé 55.000 $ le droit d’assassiner le paisible […]