Une fiction pour camoufler le racisme
Au pays de Charlie, de nombreux Français ne sont plus très au clair sur les genres littéraires. Lorsque le ministre de la justice Eric Dupond-Moretti manifeste son soutien à la députée Danièle Obono après la publication du récit raciste de Valeurs actuelles 1, il souligne la liberté d’expression qui caractérise la fiction («On est libre d’écrire un roman nauséabond»). «On n’est plus au […]